McFly p0wer =) [pv Clayton]

On est le 1re Septembre, ce qui signifie que ma fête aura lui dans 4 jours, le 5 ! C’est une fête avec code. Je vais maintenant vous expliquer plus amplement le system du code. Chaque fête codé à un code, que moi seul connaît. Avec ce code, on obtient l’itinéraire que la soirée. Attention, je ne donne le code qu’à certaine personne. Et, il est juste pour vous, si vous le donnez à quelqu’un d’autre, je le saurai, car je note cheque personne qui détient le code. Je sais, j’avais dis que les première fête serait ouverte à tous. Mais, elles ne sont pas ouverte à nos amis Pg, ni au Keuf, et à ce genre de parasites.

Une ballade seule dans les rues de Manhattan ? Qu’elle bonne idée ! A 22h du soir ? Encore mieux. Voilà ce qui m’avait poussé à sortir de chez moi, à bouger es fesses de la série niaise qui passer à la télé ou « Brian avait couché avec Amanda, alors qu’elle était marié avec Brandon, et que Brian était avec Michael ! Quoi ? Brandon et Michael ? Tu es sûr Chelsea ? Oui ! Oui je suis sûr Peter ! ». J’avais donc déambulé dans les rues de mon quartier, histoire de faire le plein de solitude. On était mardi soir, et les gens travailler le lendemain à Manhattan, ou alors, les femmes qui ne travailler pas ne sortaient pas sans leur maris. En gros, il n’y avait presque personne.

Je m’étais arrêter devant un cinéma, ou il passait un film d’Alfred Hitchcock. « Vertigo ». J’éteignais ma cigarette et entrer dans le cinéma désert. Je prenais une place pour la séance de 22h15 et entré dans la salle, avec un énorme sachet de pop-corn. Il y avait une petite mamie et son mari au devant de la scène, et c’est tout. Je m’installer au fond de la salle, piochant dans mon paquet de pop-corn, mâchant dans un délicieux « Crunch Crunch ».

Que faites-vous quand vous avez un parasite blond accroché à votre jalbe et qui vous supplit de la sortir ce soir. Vous êtes emmerdé, oui ça je sais, mais vous réagissez comment ? Parce que Clay lui s'est posé deux cent soixante-dix-neuf fois la question. Mais quand le parasite, c'est votre petite soeur et qu'elle a des arguments du tonnerre pour vous convaincre, vous n'avez pas le choix. Vous la sortez. Obligé.

- Clayton Evans, je te jure que si tu ne m'emmènes pas avec toi ce soir, j'oblige maman à nous emmener à ce gala de charité pour rajouter un accès handicapé pour le Mets.

Clay n'était même pas sûr qu'il y aurait un gala de charité pour ce genre de truc. Il y avait forcément un accès handicapé au Mets ! Mais bon, Madison avait encore pleins d'autres idées farfelues en têtes pour convaincre son grand-frère. Et elle savait parfaitement que ça ne pourrait que marcher. Le jeune blond cédait facilement à sa soeur. Il l'aimait beaucoup. Et il savait que c'était sa plus précieuse alliée si il voulait continuer à exercer son pouvoir sur ses parents. La liberté qu'il possédait, il en avait cruellement besoin ! Alors une toute petite soirée avec sa soeur, ce n'était pas la mort. C'est pas comme si elle allait le maquiller, l'habiller en fille et le mettre en plein milieu de l'Upper East Side. Non. Il allait juste... l'emmener au cinéma ! Mais oui ! Voir un chef d'oeuvre du septième art. Il connaissait un cinéma en ville qui passait des films sympas. Oui mesdames et messeirus, quel choc ! Clay Evans s'intéresse au cinéma. Mais mine de rien, il est cultivé et intelligent Clay. C'est pas un débile ! Pourquoi tout le monde pense que les beaux mecs sont idiots? Ou gays ? Il faut briser les stéréotypes ! Et même si c'est dur à croire il faut s'y faire. Clay n'est pas un stupide briseur de coeur. C'est un grand maître en l'art de la manipulation.

- Alors tu m'emmènes où?
- Au cinéma. Répondit-il avec un soupir.
- Où ?
- Il y a un bar en face, va rouler des pelles au prétentieux du coin et laisse moir apprécier mon film.

Madison en resta bouche bée. Elle aussi était persuadée que son frère ne pensait qu'aux filles et puis point barre...

Il déposa sa soeur au fameux bar où elle allait sûrement faire des conquêtes par dizaines. Et juste pour le plaisir du geste, il marcha les deux cent mètres le séparant du vieux batiments qui avait dû ouvrir au temps des films muets. Hitchcock au programme. Voilà qui allait le régaler ! En plus la salle était pratiquement vide mises à part trois ou quatre personnes. Il s'installa au dernier rang. Il entendait pas trop loin une jeune fille machait bruyallent du pop corn et devant la petite mamie qui gémissait en tentant de se déplacer un peu parce qu'elle avait mal au dos. Super, ça s'annonçait bien. Et pour couronner le tout, il avait faim !

Malgré les lumières tamisé, je voyais très bien que le jeune homme qui venait d’entré dans le cinéma était sublime. Nan, même sublime était trop faible pour décrire le blondinet qui c’était assis au dernier rang -–‘. Bon, au moins, il était assis sur le bord de la ranger. Visualiser les toilettes, un peu plus bas, près de l’écran. Vite, y aller avant que les lumières ne baissent. Au moins, il verra que j’existe.

Je posais mon paquet de pop-corn en équilibre sur mon siège et descendis les escaliers pour aller vers les toilettes. J’entrais, ma passant de l’eau sur le front, j’expirais un grand cou, on mourrait de chaud ici ! La clim était dans la salle, mais les toilettes étaient une vraie fournaise.

Quand je ressortie, les lumières étaient éteintes, et la pub avait commencé. Oh, c’est trop mignon, il y a des petites lumières rouges pour nous signaler les marches, pleins de petits points rouges.
#TRALCH!#. Ce bruit, c’était celui de ma tête heurtant le sol. Oui, sur une marche, les lumières ne marchaient plus, et je l’avais loupé. J’entendis le couple de petits vieux, ils avaient poussé un petit soupir de surprise, à l’unisson. Et puis, une voix, grave et suave. « Cha ka ? » Hein ?! Ah, non, Ca va ?. Euh. Je sentis une main chaude se attraper mon poignet et m’aider à m’asseoir.

-Eùh, Ouai, j’pense que je vais survire…

[Hs : J'avais écrit que j'étais au dernier rang. Et non au premier, si tu pouvais éditer ton post]

Il s'accrocha aux détails autour de lui bien que les trois personnes de la salle n'étaient pas aussi intéressantes à observer qu'une salle pleine. Quoique la blonde là-bas et son pop corn qui faisait un bruit du tonnerre avait l'air pas mal. Clay put mieux l'oberver quand elle se leva pour se rendre aux toilettes, la porte à deux rangées plus bas que lui. Elle était petite et mince. Elle avait l'air un brin délurée et son style était plus qu'original. Elle se faufila avec aisance pami les sièges. Mais lorsqu'elle sortit des toilettes, au début des pubs, elle se fit remarquer. Et pas forcément dans le bon sens. En effet, la jeune blonde s'était carrément ramassée sur les marches de l'escaliers. Nez conre béton. Enfin, moquette vu que les escaliers étaient confortablement aménagée d'une moquette bleue. Tu parles d'utilité public ! Se sentant une âme charitable - après tout, la pub c'est pas intéressant - il se leva pour porter secours à la jeune femme.

- Ca va ?

Clay entreprit d'attraper son poignet et passa son bras autour de la taille de Sun. Il l'aida à l'asseoir. Elle semblait reprendre ses esprits et répondit qu'elle survivrait. Enfin, elle le pensait. L jeune homme sourit. Comme il avait tant l'habitude de le faire. Ce putin de sourire ravageur qui le rendait plus beau qu'il ne l'était. Plus beau que beau. Etait-ce possible ? Je parle du physiques. Parce que si on devait qualifier la beauté intérieure de Clay, l'adjectif serait inexistante. Clay était pourri. Jusqu'à la racine.

- Je crois que tu devrais rester un moment là... Euh. Je vais chercher ton pop corn.

Aussitôt dit aussitôt fait. Il l'aida à se lever et lui proposa de s'asseoir à côté de lui au lieu de remonter tout là-haut. Puis il lui demanda son nom. Qu'est-ce qu'elle était belle ! Elle avait aussi un joli sourire et un air de poupée maléfique. Enfin, essayez de cerner quoi. Mais elle avait un je ne sais quoi qui vous égayait votre journée pour le reste du temps. Et c'était plaisant.

Il m’avait aidé à me relever et assis à côté de lui. Tout à l’heure, il avait sourit. Un putin de sourire même. Je ne m’étais pas trompé, il était sublime, même plus que sublime –quand il souriait. Je me remémorais la scène. Le lumière, une marche pas éclairé et boum ! Une Sunny par terre, une ! Après, une main autour de mon poignet, un bras contre la taille, et j’étais assises, sur les marchent du Cinéma, avait ce demi-dieu devant moi. Il m’avait parlé de pop-corn e je ne sais plus quoi et je m’étais retrouvé assise à côté de lui. Finalement, je n’avais certainement pas perdu mon temps en entrant ici. En regardant bien, il avait l’air d’être un peu comme moi, alcool&shoot a fond. Il avait de petites pupilles et ces mains étaient…moites. Je souriais, j’été tomber sur lui. Trop forte !

-Sun. J’avais un horrible mal de crâne, et l’idée de lui demander son nom ne m’avais même pas effleurer l’esprit !.

Et là, le truck que je déteste, c’est comme quand je parle, je dis toujours la même chose que les gens en même tant, avec James, Vanesse et Amanda ça m’arrivait tout le temps, et bien se genre de truck, comme dans les films, m’énervent au plus haut point. Et bien là, vous voulez du clicher ? Vous êtes servit. J’allais prendre un bout de pop-corn, quand –comme c’est bien fait :@ ! Ma main buter contre la sienne, je décaler mon poignet vers moi, énerver intérieurement, des centaines de filles prieraient pour que ça leurs arrive, et moi je prierais pour que ça ne m’arrive pas, mais ça m’arrive. Youpiiie !

Je fourrais une grosse poignée de pop-corn dans ma bouche, et au bout de longues minutes de silence, avec la pub et bruit de fond. J’allais lui demandais le sien, je tournais ma tête vers lui, remarquant qu’il faisait de même. J’ouvris la bouche, pour parler

-Et toi …
-Moi c’est …

Je maudissais mon karma, c’est parce qu’on était dans un cinéma qu’il fallait tout faire comme dans une comédie à l’eau de rose nul, de chez nul ! J’avais fais quoi pour méritais ça, déjà le cou du pop-corn m’avait à moitié enterré, mais là, j’avais carrément ma pierre tombale au dessus de la tête !

-Pardon, je ne t’ai pas demandé ton nom tout à l’heure, j’avais un peu mal à la tête…

-Pardon, je ne t’ai pas demandé ton nom tout à l’heure, j’avais un peu mal à la tête…

Pour il ne savait quelle raison étrange, ils s'étaient mis à faire tout les deux la même choses en même temps. Clay ne s'aventurerait pas à dire que c'était de l'alchimie, il n'avait jamais été amoureux donc difficile de distinguer la simple coïncidence de la fusion entre deux êtres. Mais selon moi, c'est juste la coïncidence ! Connaissant Clay, il n'est pas près de tomber amoureux !

- Clay.

Maintenant qu'il était avec Sun, il n'avait plus envie de rester là à regarder ce film. Pourquoi ne pas laisser le couple de vieux seuls et se faire la malle avec la fille su soleil ? C'était ce qu'elle était, une sorte de mini soleil qui apportait son lot de chaleur concentrée. Il lui fit part de son idée et elle acquiesça. Il leur fallait maintenant sortir d'ici. Ce fut vite fait bien sûr, il ne faut pas cent sept ans pour sortir d'un cinéma, ça c'est sûr. Et la destination la plus propice pour ces deux adolescents un peu spéciaux, c'est bien un bar ou une boîte de nuit. Là il était un peu trop tôt pour aller en discothèque. Alors la question ne se posait plus. Il invita Sun à prendre place dans son Aston Martin.

- Je connais un coin sympa. A Brooklyn.

Pas question de rester dans l'Upper East Side. Il serait encore la cible de Pretty Girl ou d'une de ses soigneuses disciples qui divulgueraient les moindres détails de cette soirée, qui Clay le savait,allait finir dans un lit avec un taux d'alcool et de drogue trop élevé dans le sang pour qu'ils puissent faire le moindre geste. Ce genre de soirées lui avaient crullement manqués. Mais maintenant il allait reprendre son allure quotidienne. Finalement, New York ce n'était pas si mauvais que ça.

Je l’avais suivit sans dire un mot. Nous étions sortis du cinéma en silence, comme des fugitifs. Une foi dehors, il m’avait emmené jusqu’à sa voiture et nous étions monté dedans. Pendant la route, il me dit qu’il connaissait un coin sympa à Brooklyn, un bar apparemment. J’acquiesçais silencieusement. Nous roulâmes pendant quelques minutes, puis j’allumais l’autoradio. Cherchant une radio potable, je tombais sur une chanson des McFly « One for the Radio ». Je souriais. McFly, j’en mangé tout les jours. On peut dire que c’est grâce à mon nom de famille d’ailleurs. Un jour, en tapant McFly sur internet, je suis tombé sur un tout petit blog de rockeurs. On peut dire que j’étais dans leurs premiers fans. Instinctivement, je montais le son. Puis, me rappelant que je n’étais pas chez moi, je tourner la tête vers Clay.

-Tu aimes McFly ?

Si il n’aimait pas, je serais obliger de le tuer je pense. Non, je le torturerai d’abord. Quoique, j’ai peut-être pas vraiment envie de ça. Il tourna la tête et une de ses mèches de cheveux vola, laissant sa boucle d’oreille à découvert. Wahou, elle était superbe. J’étais fan. Aujourd’hui j’avais mis la totale niveau piercing. C'est-à-dire, mon piercing de taureau comme disais James, celui de j’ai dans le nez, et le double labret sous ma lèvre inférieur. Plus mais quelques boucles d’oreilles, mais ça, c’est fictif x).J’étais habillée, pour moi normalement, un débardeur violet avec un Hello Kitty dessus, un short –fais par mes soin dans mon ancien Levis et une paire de Vans Classique. J’avais aussi un gros gilet noir, trois fois trop grand, que j’avais pris à John.

- Bien sûr que j'aime McFly.

Grâce à une de ses nombreuses ex qui écoutait "Five colors in her hair " en boucle. Il s'était mis à se passer les autres. Et il adorait particulièrement "Transylvania". Il fitremarquer à Sun qu'elle pouvait forcer un peu plus si ça lui faisait plaisir. A y voir de plus près, cette fameuse ex ressemblait un peu à Sun. Elle avait un style assez spécial. Euuuh... Killy ? Lilly ? Milly ? Oh, il ne s'en souvenait plus. Elle datait de sa première année de lycée. Tellement longtemps. Et tellement de filles depuis. Trop pour qu'il s'en souvienne clairement. Il en avait vu passer de toutes sortes. Des coincées, des folles, des barbies, des banales... De toutes les catégories. Elles étaient toutes jolies et assez bien foutus. Après tout, c'est le premier critère que cherche inconsciemment un homme. Vraiment, un mec qui n'aime pas avoir une belle copine, ça existe pas. Après t'as ceux qui son vraiment amoureux et qui se retrouvent avec des filles au têtes bizarres. C'est la vérité vraie ! Ne me traîtez pas de méchante, je suis réaliste. Et je sais parfaitement que mon Clay est de celà. Enfin, Clay n'est pas à moi, malheureusement. Il n'est à personne. Ce sont les autres qui sont à lui. Vraiment, quel maître manipulateur celui-là !

- On est arrivé.

Il se gara et sourit à Sun. De la musique branchée sortait d'un bar fréquenté par une multitude de jeunes. Mais Clay savait qu'il avat une place réservée. Le proprio était un vieil ami à son père et le rejeton de la famille Evans était une sorte de VIP ici. Le décor était plutôt grunge et lourd. Une épaisse fumée de cigarette flottait dans l'air et une forte odeur d'alcool vint frapper leurs narines. Clay conduisit la jeune blonde à une banquette rouge en for de "U" tout au fond, sur une partie surmontée par rapport à la pièce. Une sorte de carré privé. Il la laissa s'installer avant de lui demander quelle boisson elle désirait.

Il aimé McFly! Yeah!!!!! Nous étions sortis de sa voiture pour aller dans un bar, à la musique assez forte pour l’entendre de la rue. Il avait l’air d’être un habitué, puisqu’il se dirigea directement vers une banquette rouge en forme de U au fond de la salle. Les gens le regardaient passer, comme si il était une légende ici. Il me demanda ce que je voulais boire.

-TGV ! Et toi ?

-Et bien ça fera deux TGV alors.

Il fallait commencer par du fort, pour finir …par du fort ! Je mourrais d’envie de lui dire que mon nom était McFly, mais je le vis se lever et partir vers le bar passer commande. A l’aller comme au retour, la foule de jeune en train de danser se pousser sur son passage. Il revint s’asseoir, avec deux verres. Ils n’étaient pas comme ceux qu’on voit dans les films, vous savez, les verres à cocktail avec la petite ombrelle dedans et la brochette d’olives aux fonds. Non, c’était des verres tout simple, ou la dose l’égal d’alcool était largement dépasser.

-Bon, il faut que je te le dise, tu vas rire, mais mon nom de famille, c’est McFly.

Je guettais les traits de son visage, les plis près de son œil, la fossette au coin droit de sa bouche. Je guettais une réaction, ne sachant s’il allait me prendre au sérieux ou pas. Je crus qu’il allait s’étouffer ave son cocktail, il le reposa un grand coup sur la table, et toussa un bon coup avant de relever la tête vers moi. Et là, je me suis immédiatement dit qu’il ne me croyait pas, qu’il allait me prendre pour une fille qui essaye à tout pris de faire l’intéressant, et cette pensée me tua sur place.

Oh la la pas possible. Cette fille buvait la même chose que lui ? Généralement, les filles qu'il ramenait ne buvaient pas autant d'alcool au premier verre. Elles prenaient d'abord des cocktails de fuits exotiques que personne ne connait ensuite trempait leur lèvre dans la boisson de Clay avant au final de commander la même chose. Il fut donc agréablement surpris de voir que Sun n'avait rien à voir avec une de ces matérialistes soigneuses de leur image au sein de la société. C'est pas tous les jours qu'il tombait sur une fille originale ! Ce qui le mit presque de bonne humeur. Je ne veux pas dire qu'il n'st jamais de bonne humeur, mais ce n'est pas souvent qu'il se fait des fous rires et passe vraiment du bon temps de manière très simple.

Les danseurs s'écartaient autour de lui pour qu'il accède plus facilement au bar. Il ne savait pas comment en si peu de temps il avait acquis autant de notoriété dans ce bar. Il avait très vite été classé en habitué et même en VIP. Et tout le monde laissait sa place aux VIP. Arrivé au bar, le barman le regarda avec un sourire. Il essuyait un verre qu'il déposa pour serrer la main de Clay.

- Alors mon garçon. Qu'est-ce que ta copine veut ? Un Smoothie ?

Clay sourit. Son statut de privilégié obligeait le barman de connaître ses habitudes. Et comme d'habitude il ramenait des filles matérialistes tout le temps, alors le vieil homme s'était habitué à ce qu'elles commandent ces fameux cocktails de fruits dont j'ai parlé plus haut.

- Non John. Ce soir ce sera deux TGV.

Le John en question ne se fit pas prier et s'activa pour servir Clay le plus vite possible. Vive l'argent de papa qui ne le faisait pas attendre pour boire ! Petite remarque historique juste comme ça. La situation de Clay rappelait vaguement les nobles d'autrefois. Réellement, la fortune de sa famille lui donnait des avantages que beaucoup d'autres n'avaient pas. Ce système assez injuste encré dans une démocratie moderne est assez contradictoire avec ce que l'état les démagogues disent de la démocratie. (Hs : Désolée mais j'en ai tellement bavé de l'histoire que j'avais envie de le caser quelque part ce truc x)
Il revint vers Sun, toujours avec la même aisance pour fendre la foule, déposa les verres et s'installa près d'elle. Il cherchait quelque chose à dire quand Sun intervint. Il prit son verre, y trempa ses lèvres, attendant de bien comprendre la phrase qu'elle venait de prononcer.

-Bon, il faut que je te le dise, tu vas rire, mais mon nom de famille, c’est McFly.

Le temps de vraiment bien comprendre, la gorgée qu'il avait pris eu le temps d'arriver à son oeusophage. Et cette annonce quelque peu particulière eut le don de le faire rire. Mais vraiment rire. Et là catastrophe. Il tenta de juguler son fou rire et sa boisson à moitié aalé remonta avant de finir dans la trachée. Il toussa un bon moment et finalement il put enfin rire. Mais rire pour de bon. Il eut soudain la convicion qu'il allait passait du bon temps avec Sun. Rares étaient les gens qui le faisaient rire. Bien sûr il la croyait. Pourquoi irait-elle sortir un truc du genre sinon?

- En voilà une sacrée coïncidence. C'est quand même pas banal. En plus ça te va bien.

Il avala une autre gorgée cette fois sans s"étouffer.

- Ils devraient être honorés que leur groupe porte ton nom.

Wahou. Il avait faillit mourir étouffé devant moi. Et tout ce que j’avais fait, c’était éclatée de rire. Je passer mon doigt autour du bord de mon verre lentement, un petit rituel. Je buvais une gorgée, qui descendait tout aussi lentement dans ma trachée. McFly honoré qu’il porte mon nom ? Et en plus, que ce nom m’allait bien ? Wahou, Lucky dear, Lucky !

-J’aurais plutôt dis l’inverse, mais si Mr. Le V.I.P le dit, je veux bien le croire. Lui répondis-je en lui faisant un clin d’œil.

Soudain, je pris mon verre, le levais. Clay me suivit, et nous trinquions le sourire aux lèvres. J’avisais nos verres. Presque plein pour moi, et à la moitié pour lui. Dans un esprit de folie, je le défiais.

-Showt ?

Il acquiesça, l’air surpris et nous commencions à descendre nos verres lentement. Je fermé les yeux, espérant ternir jusqu’au bout. Mais, à quelques ml de la fin, ma gorge s’enflamma et je toussais, une toue qui m’obligea à poser mon verre. J’ouvrais les yeux, déçu. Quand je remarquais que Clay me fixait. J’avais réussit à finir mon verre dans ma dernière inspiration. J’en étais si fière, que je ne pus m’empêcher :

-Alors, je récapitule, je suis une fille, et j’en avais plus que toi ? Es-tu gay ? Quoi que, même les gays descendent vite els verres d’alcool. Alors, je ne vois pas.[/b]

J’explosais de rire, à voir ça tête. Un air entre l’incompréhension, le doute et le je-ne-sais-pas-trop-quoi. Enfin, il comprit que je n’étais en aucun cas sérieuse, et il se détendit.

-On reste là ? Ou on bouge ? J’ai bien envie d’un petit rail…

Et puis, le bar était sympa, mais il ya avait trop de monde. Trop de gens nous regardais, cela avait le don de m’énervais. Nous n’étions pas des bêtes curieuses, juste des jeunes. Ce n’est pas encore un synonyme au moins ? Je penchais la tête en arrière un instant. Rouvrant les yeux, je voyais une fille, à moitié nue –non avec un top qui remplissait à peine sa fonction de haut et un short qui avait plus l’air d’un tanga. Et bien cette jeune fille dansait langoureusement près de Clay, presque sur ses genoux. Plutôt heureux d’ailleurs. Mais, il déchanta vite quand elle se retourna. Car, la belle demoiselle, avec un beau physique gracieux avait la lèvre supérieure explosée au botoxe. Et, les pommettes tellement saillante que l’on avait l’impression que ça peau allait craquer si elle parlait. Le sourire de Clay s’effaça en un instant, et il se tortilla pour se dégager de la jeune fille.

Je me rapprochais de lui, et –tout en lui murmurant dans l’oreille, n’aillant pas envie que tout le monde entende notre conversation, je lui redemandais :

-On reste là ou tu m’emmènes autre pars ?

-On reste là ou tu m’emmènes autre pars ?

Il avait bien envie de l'emmener dans un endroit calme. Vide de monde. Cette fille était éclatante. Et il avait vraiment envie de s'éclater un peu plus si vous voyez ce que je veux dire. Mais sortir d'ici n'était pas tache aisée. Rien qu'en s'asseyant à la banquette VIP, ils s'étaient faits remarqués, enviés, convoités, jalousés. Alors entre les filles en mini short qui se collaient au jeune homme pour l'attirer dans une danse endiablée et sensuelle et les mecs complètement bourrés qui passaient eurs bras autour de Sun, essayant de l'avoir à part pour un peu de plaisir. Mais Clay ne lentendait pas de cette oreille. Il passa un bras autour de la taille de la jeune blonde et la rapprocha de lui.

- Pas question que ces vautours te touchent.

Glissa-t-il à l'oreille de la jeune fille. Ils réussirent enfin à sortir du bar. Fiou ! Pas trop tôt ! Encore un peu et sa charmante amie d'une nuit allait l'échapper.

- Tu as envie d'un endroit en particuliers ?

UP

Il passa son bras autour de ma taille, pour m’éviter les mecs bourrés. Quoi que, il y en avait plusieurs pas mal. Mais aucuns n’arrivaient à la cheville de Clay. Une fois sortie, la fraicheur de l’air me surpris, et je frissonnais. Il me serra un peu plus fort en me demandant où je voulais aller. Je lui souris.

-Un endroit calme, mais pas chez moi, c’est trop en bordel.

Ce qui était sûr, c’est que je ne voulais pas aller dans un autre bar, ou en boite, ou encore autre pars. Je voulais un rail, un bédo, et un whisky-coca. Et je le voulais. Lui, avec sa chevelure blonde, ses yeux à tomber. Je ne savais absolument pas comment la soirée aller se terminer, mais je savais qu’elle allait être bien. Un vent tout simplement glacial souffler dans la petite ruelle sombre. J’en claquais des dents, -à vraie dire, je suis extrêmement frileuse. Je me décollais à regret de Clay, trop fière pour montrer que j'avais froid, je ramener mes manches jusqu'à mes doigts, mais mes jambes me trahirent, tremblantes, je m’appuyais contre le mur du bar. Clay tourna la tête vers moi, et je lui souris le plus naturellement possible.

Il me rendit mon sourire et me tendit la main. Je ne pu résister à son sourire ravageur, et j’attrapais sa main pour me blottir contre lui. Il dégager une chaleur qui calma mes tremblement. Quand il reposa sa main contre ma hanche, son bras dans mon dos, je me dis que j’étais tombé sur une perle.